jeudi, décembre 16, 2004

21h30.
Je rentre du boulot et, ô miracle, ô joie, la pose du plancher flottant a enfin débutée !
J’admire le travail, je cherche à comprendre, je… Mais dites-moi… ? N’avais-je pas acheté de la mousse, indispensable et obligatoire pour servir de sous-couche ? Et où est-elle passée ?
Mieux vaut ne pas aller directement tuer le voisin tout de suite. Je l’appelle ; au téléphone, si je pète un plomb, ce sera moins grave. « Booaah, il va peut-être la glisser par-dessous, non ? » ose-t-il me répondre. Vaut-il vraiment mieux entendre ça que d’être sourd ? Des fois, pas si sûr…
Vivement demain matin que j’aille cracher ma haine en courant. Il n’y a vraiment que ça qui me calme, en ce moment. Jamais autant couru de ma vie…


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